

Larissa French
Motivée en vue de sa carrière d’infirmière
Larissa French vient de terminer sa première session dans le programme de baccalauréat en sciences infirmières à UPEI. Elle y a découvert un environnement propice l’apprentissage, ainsi qu’une cohorte d’étudiants tricotée serrée, ce qui a largement contribué à sa transition entre l’école secondaire et l’éducation postsecondaire.
« Ma première session a passé vraiment très vite, souligne Larissa. Parmi les faits saillants, je note que nous nous entendons tous très bien dans mon programme et que nous sommes soudés comme groupe. Je suis également fière d’avoir maintenu un haut rendement scolaire durant cette transition réputée difficile pour les étudiants qui s’inscrivent pour la première fois à l’université. »
Le programme de science infirmière compte une soixantaine d’étudiants de première année dont l’âge et l’expérience varient. Comme Larissa, certains étudiants sortent tout juste de l’école secondaire tandis que d’autres sont déjà sur le marché du travail et possèdent divers diplômes universitaires.
« Étudier à l’université, ce n’est pas la même chose que d’étudier au secondaire, même si nous sommes une petite cohorte, ajoute Larissa. C’est important d’être motivée et d’apprendre à être indépendante. Les enseignants nous appuient bien sûr, mais ils ne nous tiennent pas par la main et ne font pas nécessairement des rappels sur toutes les dates de remise des travaux, entre autres. Il faut apprendre à s’organiser et à gérer son temps de façon efficace. »
« J’ai vraiment hâte de suivre des cours optionnels en français, partage Larissa, qui a complété le programme d’immersion à l’École secondaire Bluefield. En 12e année, mon horaire de cours ne me permettait pas de suivre autant de cours en français que j’aurais voulu. À l’université, on a l’avantage d’avoir beaucoup plus de choix de cours offerts en français. »
Larissa est engagée envers ses études en sciences infirmières. Elle a plusieurs sources de motivation, dont les occasions d’acquérir des expériences cliniques et de faire des échanges d’apprentissages dans d’autres provinces ainsi qu’à l’extérieur du pays. Pour ce qui est de la possibilité de se spécialiser, elle penche en ce moment vers la santé des femmes et l’option de poursuivre des études universitaires dans le but de devenir infirmière praticienne. En juillet 2019, Larissa a reçu une bourse d’entrée de 1 500 $ de la part du Réseau Santé en français de l’Î.-P.-É. pour les étudiants dans le domaine de la santé.


